Planète-déchet

 

La viande                                

 

la volaille

           Les américains consomment actuellement autant de poulets en un jour qu’ils en consommaient en un an en 1930. Les plus grosses firmes de poulets à rôtir abattent actuellement plus de 8 millions d’oiseaux par semaine.

Elevage en batterie: les poules pondeuses ne peuvent pas bouger.

          Les poulets sont débecqués, cela empêche les coups de becs et le cannibalisme chez les poulets frustrés causé par la surpopulation dans des espaces non séparés. Concernant leurs conditions de vie, ce sont entre 60.000 et 90.000 oiseaux qui sont entassés dans un même bâtiment. Quand aux poules, elles vivent dans un hangar de ponte entassés dans les dites « cages à batteries » où elles n’ont même pas la place d’étendre leurs ailes et de satisfaire leurs besoins naturels minimums.
          Durant le transport, beaucoup d’animaux meurent d’étouffement quand d’autres animaux s’empilent sur eux dans des cages surpeuplées chargées sans précautions.
         Les poulets et les dindes sont abbatus de plusieurs facons, certains peuvent se faire matraquer a mort ou bien se faire couper la tête. Mais la plupart sont amenés sur les chaînes d’assemblages des fermes industrielles. Suspendus à l’envers sur un tapis roulant, leur gorge est tranchée et ils sont laissés à saigner jusqu’à la mort.
 

Le bétail et autres... 

          Ce qui se passe dans les abattoirs est un exemple de l’exploitation du faible par le plus fort, plus de 10.000 fois par minute soit plus de 6 milliards par an , rien que pour les USA. Les prétendus animaux de boucherie sont littéralement vidés de leur vie. Ayant le pouvoir, les humains décident quand ces animaux vont mourir, où ils vont mourir et comment ils vont mourir.

            Il a été dit que si nous devions tuer notre propre viande, nous serions tous végétariens, évidemment très peu de gens ont déjà visité un abattoir mais les gens espèrent que la viande achetée provient d’animaux morts sans souffrance ; en réalité personne ne veut réellement savoir ce qui leur est réellement arrivé.
            Et pourtant ceux qui par leurs achats requièrent l’abattage d’animaux, ne devraient pas être protégés de la vérité ni d’aucun aspect de la production de la viande qu’ils achètent.
 
            Alors d’où vient notre nourriture ? Pour ceux d’entre nous qui vivent d’un régime carnivore, voici les procédés que les animaux subissent ;
-         En premier lieu les animaux sont marqués au fer rouge sur le visage
-         Ensuite pour les vaches celles-ci sont décornés, sans anesthésie, mais avec une grosse paire de tenaille.
-         Durant le transport, les animaux sont tellement entassés dans le camion, qu’ils sont les uns sur les autres. Ainsi ils subissent, chaleur, gel, fatigue, traumatisme et conditions insalubres faisant mourir bon nombre des animaux sur la route pour l’abattoir
-         Arrivé à l’abattoir les animaux (cochons, vaches) sont placés dans des stalles (petits enclos) et un par un ils sont assomés à l’aide d’un projectile captif dans la tête, ce procédé ne tue pas l’animal, la plupart du temps ceux-ci sont encore conscients lorsque vient le moment de la saignée. Même en ayant déjà bien avancé dans la chaîne de l’abattoir, des animaux ne sont toujours pas morts et gisent sur le sol ou suspendus au plafond, la tête en bas...
 
Description de "La méthode kosher"
 
        La méthode « kosher », surtout employé aux Etats-Unis est un mode d’abattage entraînant un minimum de souffrance selon des règles strictes, cependant ces normes ne sont jamais respectés. Dans les « glatt kosher » les bœufs n’ont pas le droit d’être touchés, alors ils sont immobilisés dans de grosses boîtes ou la tête est maintenue fermement. La boîte se retourne et une personne vient découper légèrement la gorge de l’animal pour le faire saigner, l’animal est toujours vivant et doit avaler du sang pour tenter de respirer. (Retourner un animal pour l’abattage est une infraction). On lui retire ensuite l’œsophage de la gorge, or c’est aussi une infraction flagrante. Pour finir les animaux sont jetés par terre à l’aide d’une rampe en métal, où l’animal agonise avec leurs trachées et leur oesophages pendant à l’extérieur.
 Je m’arrête là, mais comme vous pouvez le voir la mort n’a été ni rapide ni miséricordieuse....

 

Dans une mare de sang et l'oesophage à l'air, le boeuf va etre treuillé un peu plus loin

 

           Si les murs des abattoirs étaient en verre, ne serions-nous pas tous végétariens ? Mais les murs ne sont pas en verre, ils sont opaques pour être sûr que l’on ne verra pas, ...Et qui aimerait regarder ? 

 

 

« Vous dîner, et peu importe la distance qui sépare 

l’abattoir de votre assiette, il y a complicité »

 





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